Les arthroses compliquées: du cou-de-pied, de la cheville, et l' arthrose cervicale ( dite " cervicarthrose ", avec son cortège de maux de tête, parfois de vertiges, d' insomnie, sont des pathologies qui répondent très bien au traitement par mésothérapie. Dieu sait pourtant combien de traitements sont essayés, sans succès, ou très peu, ou très inconstants ! La mésothérapie reste souvent - hélas - le dernier recours. Et les patients regrettent toujours de ne pas avoir tenté cette aventure plus tôt.

Une arthrose " méchante ": l' arthrose de la machoire: (arthrose de l' articulation temporo mandibulaire). Elle empêche de manger, de bailler, de dormir, et même parfois de parler ! Après avoir fait vérifier l' équilibre de la mastication dentaire par son chirurgien dentiste ( important), la mésothérapie ( une à deux séances) l' efface à tout coup.

Et l' arthrose de la colonne vertébrale ?
Dans cette indication, la mésothérapie apporte un plus incontestable, à long terme notamment : le traitement réclame alors des séances espacées ( 1 mois à 6 semaines) jusqu' à obtenir une amélioration satisfaisante ( en 2 mois à ... 1an) que l' on maintien ensuite par des rappels. Ces rappels sont plus fréquents, bien sûr, si l' arthrose est importante et évolutive. Les patients très âgés ( 70, 80, 90 ans) sont alors délivrés des anti-inflammatoires ou des coûteux traitements de fond. À la longue, la mésothérapie bloque l' évolution de l' arthrose.

Et l' arthrose de la hanche ?
C' est une bonne indication aussi. Mais là, existent des cas où la chirurgie ( prothèse) est quasi inévitable. Certains patients sont malheureusement inopérables ( cardiaques, insuffisants rénaux, et autres maladies graves ) et sont donc condamnés à souffrir et à marcher de plus en plus difficilement. En quelques mois, le traitement par mésothérapie les soulage et peut même renforcer l' os de l' articulation détruite, évitant le handicap complêt. Mais pour en arriver là il faut 1 à 2 ans de traitement...

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